Car ce jour là : il faisait beau dans Arenberg.
Mais quand les Anges pleurent sur elle. Il en découle que !
Paris Roubaix à Wallers Arenberg, c’est souvent l’enfer.
Par temps clair :c’est la poussière. Avec la pluie: un véritable défit.
D’ailleurs :
Etait-ce la nuit ou le jour ce Dimanche de course ?
Pourtant ,la pluie du matin n’arrêtant pas le Pèlerin, nous étions quelques âmes passionnées transies et trempées à nous attarder dans la Tranchée d’Arenberg ,malgré ce ciel qui charriant des noces sombres était si bas qu’un canard aurait pu se perdre.
Et si gris qu’en toute humilité, même les oiseaux allèrent se recoucher.
Véritablement un temps de chien à ne pas mettre un chrétien dehors Puisse que de toute évidence, Dieu lui-même avait abandonné pour un moment ce lieu.
Enfin pour clore ce tableau ténébreux.
Sous nos pas un infâme pavé luisant , qui ayant jadis abrité sous lui, le labeur , la souffrance et la misère des Mineurs.
Semble vouloir aujourd’hui se venger sournoisement de ceux qui en ce jour sont venus le défier.
Et c’est pour tout cela que nous aimons cet endroit.