Dimanche de course est arrivé.
Chaque année, pour moi c’est un rituel inébranlable .
Vers 11 Heures 30 nous partons pour la tranchée de Wallers Arenberg.
Qu’il pleuve, qu’il neige ou qu’il vente, je ne manquerais le passage de Paris Roubaix pour rien au monde.
Armé de nos sièges et chargé d’une collation nous attendons le passage des coureurs.
Cela ne nous semble pas long car avec les Flamands, les Hollandais , Italiens et autres Allemands qui déambulent sans cesse en chantant et en Criant .
Le spectacle est déjà la.
Quand je travaillais encore, étant en postes continus, mes supérieurs connaissaient ma passion pour le Vélo et faisaient en sorte de m’accorder une journée de congé afin que je puisse me rendre au passage des champions cyclistes.
Pour moi en vérité une belle journée.