Loin du Monde.
Passé l’étape où les bêtes arrêtent leur course, après avoir marché et grimpé pendant déjà plus d’un quart d’heure, en me retournant j’aperçois au loin ce refuge qui devient au fil de ma montée de plus en plus petit.
J’entre alors au plus profond de la nature.
Là où nous les hommes devenons vulnérables tant sa grandeur nous Enchante, mais nous écrase aussi.