Comme dans toute grosse agglomération, surtout celle qui reçoit Enormément de touristes appelé ici à Lourdes «　pèlerins　» .

Lourdes se devait pour alimenter en nourritures les centaines d’hôtels de la Ville.

De se doter d’un marché couvert appelé plus souvent Halles.

On regrettera cependant que cet espace soit finalement très peu réservé Aux particuliers.

La photo : Le marché couvert de Lourdes.

La fontaine au cœur de la ville.

Sur cette petite place, une très imposante fontaine dont Malheureusement , je ne connais pas l’histoire ni les figurines qui y sont représentées.

La photo : Cette majestueuse fontaine pas inconnue , mais anonyme.

L’église paroissiale.

L’église du Sacré cœur construite à partir de 1867 par Mgr Peyramale, curé de Lourdes au moment des apparitions.

Du précédent sanctuaire, détruit en 1908, ne subsiste que les Fonds baptismaux où Marie-Bernard Soubirous en 1844 fût baptisée.

Le Curé de Lourdes.

Comme tous les habitants et notables ,le Curé de Lourdes, était au début réfractaire aux dires de la petite bergère Bernadette Soubirous qui disait avoir vu une Dame dans une grotte à la Campagne, le long du torrent : le gave.

Pourtant par la suite, c’est grâce à ce serviteur de Dieu qui ayant entendu les paroles de Bernadette qui ne savait ni lire ni écrire appeler par son nom la Dame .

Que la véracité de l’histoire de cette petite et pauvre bergère fût reconnue.

Le Château fort de Lourdes.

Dominé par son donjon du XIV^e, siècle, la vieille forteresse abrite un Musée Pyrénéeen, dans le donjon, bibliothèque de 14 000 volumes, manuscrits, cartes, dessins, etc., consacrés aux Pyrénées ( Faune et Flore, animaux des montagnes et costumes d’époque des gens de la région).

Beau panorama de la ville, des terrasses du château.
Le Pavillon Notre-Dame, boulevard Père-Rémi Sempé.

Souvenirs et documents des 18 apparitions de Bernadette.

La chapelle du château, contient des boiseries, statues et autels en bois Polychrome du 18 ^eme siècle qui ornaient jadis l’église paroissiale.

Vue de Lourdes du haut du château fort.

Du haut de cette forteresse Lourdes est à nos pieds.

On imagine toute cette population de résidents, touristes et pèlerins qui grouillent dans les rues de la cité Mariale.

La montagne est bien sur présente et on aperçoit au centre, devant la basilique des Sanctuaires: Un genre de pelouse.

Certes cela en est une, mais c’est aussi le toit de la basilique souterraine .

La photo : Du haut du château fort.

La piscine municipale.

Avec ses bassins découverts, cette piscine, je la connais depuis toujours.

Certes elle a été rénovée et surtout équipée de plongeoirs par exemple.

En effet une des première fois ou je suis allé à Lourdes, nous avons Assisté à un meeting de natation où le petite fiancée de l’époque des Français et la préférée du Général De Gaulle: Christine Caron, notre grande championne.

S’est produite pour le plus grand plaisir de tous.

Un agréable souvenir.

La photo : La piscine découverte de Lourdes.

La gare.

Combien de voyageurs mais surtout de pèlerins, cette gare Lourdaise a vu passer ?

Tous ces croyants pour la plus part qui les yeux encore humides D’émotion après avoir aperçu la Grotte avant que leur train S’immobilise et d’être dispatchés par la suite dans les hôtels de la ville.

Ont fréquenté ce lieu de passage avec l‘espoir pour certains de guérir Pour d‘autres tout simplement trouver la paix intérieure..

La photo: La gare de Lourdes.

La maison paternelle de Bernadette Soubirous.

Bernadette y habita de la fin de l’année 1858 jusqu’en 1860.

Cette maison fut donnée par Mgr. l’Evêque de Tarbes, au père de Bernadette qui l’habita avec sa famille..

Dans cette maison, appelée autrefois "Moulin Lacadé" se trouvent le lit où couchait Bernadette et tous les meubles ayant appartenu à ses parents.

Qui était Bernadette Soubirous ?

Les Soubirous, des anciens meuniers. Très pauvres, ils élèvent Difficilement leurs quatre enfants.

Bernadette, l’aînée passe les premiers mois de sa vie à Bartrès chez sa nourrice.

A14 ans, en janvier 1858, elle revient vivre avec ses parents dans un endroit appelé «　le Cachot　».

Suivant le catéchisme paroissial, elle fréquente la classe des indigents Des Sœurs de la Charité.

La photo : Bernadette Soubious .