Paris Roubaix 2010 l’épilogue 3.
Et puis: Il y a Cancellara ! Que dire de ce formidable exploit ?
Comme au tant de l’époque héroïque du cyclisme ou encore de l’ère Eddy Merckx, Spartacus a fait étalage de toute son talent, sa classe son intelligence et de son âme de guerrier .
Sans se poser de questions, n’étant en rien calculateur comme cela se passe trop dans le cyclisme moderne.
Il a joué sa chance à fond pour finalement imposer sa loi à ses rivaux qui n’ont pu que constater les dégâts.
Bravo Champion !