Ah bon il y a une crise économique !
En regardant les propriétaires richissimes et leur descendance descendre de ces yacks de luxe afin d’aller faire des emplettes à Saint Tropez.
Je me suis demandé si ces privilégiers avaient au moins connaissance des difficultés que rencontre chaque jour le plus commun des mortels.
Je présume qu’ils ne comprennent pas vraiment le sens du mot licenciement , l’expression : baisse du pouvoir d’achât , précarité et travailleurs pauvres.
Enfin peut-être par instant ,lorsque pour se donner bonne conscience, ils se sacrifient et assistent aux soirées de bien faisances ou autre action médiatisée des œuvres caritatives qu’ils parainent avec bien souvent des trémolos dans la voix en priant les plus pauvres de donner.
Eux qui ne comptent pas .
Des exemples:
Pour un grand yack, frais d’entretient et de fonctionnement
Plus de 800 euros par 24 heures .
Prix d’accostage pour une nuit 2000 euros.
En vitesse de croisière, consommation de fuel ( pour les plus gros )
Au moins 1000 litres par heure.
Pour s’amarrer à un port exemple :Cannes1000 à 1500 euros par jour.
A méditer !
La photo : Gégé dubitatif devant tout ce luxe du port de Saint Tropez
Et un de ces monstres des mers