La ville est organisée selon un plan en forme de cœur, coupé en deux par la rue principale, aujourd’hui rue de la République.

Cette organisation est exemplaire de l’architecture urbaine des XV^ème et XVII^ème siècles.

Charmante la flânerie.

Vraiment quand on s’abandonne dans les petites rues piétonnes de Sarlat, on peut y goûter une quiétude bienfaitrice .

Pour le calme qui y règne ,mais aussi par la beauté des façades de ses négoces, qui au demeurant ont su garder un cachet d’antan en se signalant par des enseignes rustiques et anciennes voir moyenâgeuses.

La photo : Gégé au sein de Sarlat.

Sarlat : Ses trésors.

Pour apprécier encore mieux toutes les merveilles que cache Sarlat, il faut flâner dans ses rues et ruelles, autour de ses places.

On y découvre des trésors comme les demeures qui longent la rue des Consuls, la rue du Siège ou la place de la Liberté.

Ou alors comme sur cette photo bien dissimulé dans une petite cour:

Un charmant petit restaurant.

Fraîcheur à Sarlat.

En se promenant dans les rues paisibles de Sarlat ,on découvre une belle petite fontaine qu’il est agréable d’entendre couler sous ce beau soleil très chaud.

Un jour j’espère !
J’aurai encore absolument à voir lors de ma visite la Cathédrale Saint Sacerdoce

Un patchwork de styles roman et gothique car construite entre le XII^ème et le XVII^ème.

La Lanterne des morts, superbe tour romane du XIIème siècle, dont on ne connaît pas vraiment la fonction, vraisemblablement une Chapelle, l’Hôtel Plamon, construit sur trois niveaux au XIV^ème siècle, qui constitue l’un des plus beaux exemples d’habitat urbain Gothique. e.t.c.

Hélas le temps m’est compté et je dois reprendre la route.

Pour une autre fois peut-être ?

Pour terminer.

L'église de Sarlat vue d'une des petites rues étroites.

Un dernier coup d'oeil.

Sur cette lourde porte qui ferme le seuil du marché couvert.

Localisation de Sarlat.

Le 24 : Chef lieu Périgueux

En vert tous les départements où nous sommes allés en vacances

En bleu les villes étapes lors de nos déplacements.

En rouge le département concerné.

La Camargue

Située dans le delta du Rhône, département des Bouches-du-Rhône.

La Camargue est une étendue de terres plates et marécageuses, d'une superficie d'environ 100000 ha.

La plus grande partie de la Camargue est sauvage, trop marécageuse et Saline pour être cultivée.

De grands domaines d'élevage de bovins ( dont les taureaux noirs pour la tauromachie ) et de chevaux laissent La place dans le nord, là où les terres sont moins salées, à la culture du riz sous irrigation.

La Camargue est un paradis naturel pour les espèces sauvages.

On y trouve des troupeaux sauvages de chevaux blancs de race camarguaise et des oiseaux ( les flamants Roses, les aigrettes, l’Huitrier, le Butor, la Macreuse, le Vanneau et l’Ibis ).

Le Parc régional de Camargue, créé en 1970, couvre quelque 82000 ha.

Bon nombre de ses lagunes, tel l'étang de Vaccarès, sont aussi des réserves naturelles.

Les Autres villes de Camargue sont Arles, la plus vaste commune de France, et Port-Saint-Louis-du-Rhône.

D'importantes inondations s'y sont produites en automne 1994.

Pause en Camargue. Etape en Camargue.

Avant de traverser la Camargue , un petit avant goût avec cet arrêt dans un Mas où les chevaux attendent leurs cavaliers pour aller découvrir ce delta du Rhône si fertile.

La photo : Les chevaux derrière Evelyne.