Gégé dans le cadeau.

La tétine accrochée à sa brassière au cas ou, Gégé  à la bonne bouille trône dans son cadeau .

Ce que L’on appelle aujourd’hui une chaise haute pour bébé.

Plus éveillé.

Gégé déjà un peu plus grand, les premiers cheveux sont apparus. 

Toujours dans son cadeau ,le joufflu bambin semble s’amuser avec tout ce qu’il a à portée de main.

Penant un peu de repos durant les travaux dex champs, mon Père profite un peu de sa fille Mimi.

Apprentissage.

Mimi supervisant les travaux de Maman qui s’adonne à la Lessive qui était faite à l’époque à la main dans des baquets et chaudrons.

Les seules machines à laver qui existaient étant des Batteuses à bras que l’on faisait fonctionner à la main .

Maman et sa progéniture.

Toujours devant la maison et en face de la ferme voisine de l’époque, ma Mère est toute heureuse de serrer contre elle son dernier né : Gégé.

Solidarité.

Mimi qui a vu le travail de la lessive de sa maman essaye de l’imiter.

Elle a peut être envie de l’aider ?  Pieuse intention.

La sainte famille.

Gégé dans les bras de sa Mère, Mimi dans ceux de son Père.

On peut voir la fierté des parents de présenter leurs progénitures.

Gégé :(1950-2...).

C’est pas moi qui marquera la date de fin.

Devant le même lieu , mes parents avait pris en photo un Magnifique Bébé d’un an et demi : Gégé.
Cette photo date de 1952.    

Le Château.

Toutes ces photos ont été prises devant la maison natale et le Château de Monsieur Guéquières.

Il était un notable d’Haulchin assez riche , mais cependant aussi un être très humain.

Il fit travailler bon nombre de personnes à Haulchin dans ses propriétés et ses affaires.

Puis vendu il fut la propriété d’Usinor (usine sidérurgique) qui l’utilisât comme demeure de fonction pour ses ingénieurs.

De nos jours, ce château propriété de la commune est devenue la Maison pour tous (Gustave Ansart) et abrite la bibliothèque Municipale.

C’est aussi contre son mur d’enceinte, qu’à l’époque ou l’eau Potable n’était pas encore dans les maisons .

Qu’une pompette approvisionnait les habitants.

Que c’est mignon.

Ne dirait-on pas une petite poupée, ma sœur Mimi avec sa petite robe blanche et sa petite riquette dans les cheveux .

Un amour vraiment !