L’Abbé Baslis.

Un saint homme qui a voué sa vie à Dieu.

De l’ancienne époque et école, il a toujours adopté la soutane ( il n’était pas Intégriste ).

Très prés de ses paroissiens, doté d’une Intelligence hors du commun qui l’amena un jour pour sa Paroisse à gagner de l’argent à un jeux sur une radio la Première de France aujourd’hui.

Il était très proche de ses Ouailles , les assistant dans les démarches administratives, leurs problèmes quotidiens ou encore en les aidant moralement dans la maladie ou la mort.

Bref un curé à l’ancienne pour qui la prêtrise était une vocation, un sacerdoce et qu’hélas, on ne trouve plus aujourd’hui.

Le Presbytère d’Haulchin.

C’est dans cette très grande maison appartenant à l’évêché de Cambrai. Qu’ont logé les Prêtres de la paroisse d’Haulchin.

Agrémentée d’un jardin et doté d’un garage, elle était alors bien entretenue .

Hélas désormais , la paroisse d’Haulchin n’ayant plus de Prêtre attitré.

Cette grande demeure est inhabitée et sera probablement rachetée par la commune: L’évêché s’en désintéressant complètement.

Neige à l’école .

Même plus grand à cette époque là nous avions des jeux simples.

Il est vrai qu’avec le peu de circulation automobile qu’il y avait dans Haulchin, les activités de plein air étaient favorisées.

Mais quand même, un rien nous amusait et chaque occasion était bonne pour se défouler sainement, créer en groupe sous l’œil averti du Directeur d'école.

La Photo : Les élèves de l’école primaire d’Haulchin ( Gégé Au centre accroupi et le seul avec des lunettes ).

Ecole primaire des garçons.

C’est dans ces salles de classe que les petits Haulchinois et Haulchinoises étudiaient jusqu’au certificat d’études primaire.

Puis ensuite ,c’était la grande aventure qui commençait.

Celles et ceux qui continuaient leurs études, partaient l’année suivante au lycée dans la grande ville.

La Photo : L’école des garçons et des filles à coté et séparé à l’époque par un mur.

Cet ensemble scolaire avait été baptisé  « Joliot Curie » en mémoire des célèbres physiciens.

Ecole primaire des filles.

Juste à coté de celle des garçon avec la même vocation:
L’obtention du Certificat d’études primaire .

Et préparer l’accès aux études supérieures. 

La Communion privée.

Pratiquement, tout enfant à ce moment là, faisait sa Communion privée dite aussi la petite communion.

Catéchisme et tout le bazar était une occupation du jeudi ,jour de relâche à l’école.

Maman et ses champions.

Très vigilante mais aussi un brin possessive, nôtre Mère nous surveillait lorsque nous nous trouvions dehors comme ici avec un camarade devant la maison des grands parents.

Les conditions n’étaient pas les mêmes pour s’amuser dehors.

Car moins de dangers de toute nature nous guettaient.

Et pourtant : Maman n’était jamais très loin!

Premières bêtises.

Si je vous dis que dans nôtre enfance ,nous Etions des saints: Vous ne me croirez pas et vous aurez raison.

Toujours en quête de sensations fortes, même le dimanche, nous nous adonnions à certains jeux qui parfois était limites du correctement.

C’est ainsi ,toute fois sans le vouloir entrant dans un pré pour jouer au foot.

Une des vaches qui s’y trouvaient, de peur sauta dans le canal.

Ne sachant pas remonter sur la berge risquant de se noyer, nous partîmes Prévenir le fermier qui nous félicita de l’avoir averti.

Nous donnant même par la suite comme récompense du beurre et des Oeufs.

Moralité un bien fait n’est jamais perdu ! 

Terrain de jeu .

Les bords de l’Escaut et ses sentiers étaient donc pour nous les petits campagnards, un terrain de jeu immense.

Loin de la pollution et de la circulation de voitures, nous pouvions évoluer le plus tranquillement du monde.

Le seul risque pour nos personnes étant de tomber d’un arbre ou encore au canal ,car à l’époque nous ne savions pas nager !

Les chemins agricoles et des lieux dans la nature comme ici le  Calvaire d'Haulchin étaient également des endroits d'amusement et de défoulement physique. 

Communion solennelle de Mimi.

Entourée de Papa et Maman, ma sœur Mimi ( Michèle ) habillée en communiante.

Ne dirait-on pas une petite mariée ,vêtue de la sorte ?