L'appel du bain.

Plus fort que moi, dès qu'il m'était possible , je piquais une tête dans la très belle piscine de l'hôtel.

Les rafraichissements (non alcoolisés) apportés par les serveurs n'étant jamais bien loin , les amis et moi-même étions vraîment aux anges

Le soir après une journée bien chargée d'excursion ou de plage.

Tout Les soirs autour de la piscine de l'hôtel , des soirées et fêtes étaient Données. Orchestre, danses jusque très tard dans la nuit amusaient les résidents de l'hôtel.

Parfois même abusant un peu de boissons folâtrées, certains finissaient au bain joyeusement. Tout ceci en toute amitié.

La plage.

Véritable paradis, les plages de l'île de Majorque sont idéales pour la baignade, les jeux , la décontraction et l'amitié entre amis.

L'eau y est chaude , le sable presque blanc et très fin. Que de bonnes après-midi nous avons passées avec deux couples d'amis dont quelques uns sont aujourd'hui hélas disparus.

La corrida.

C'est une des excursions aux Baléares dont je suis le moins fier. Pour ma décharge, je dirai qu'elle était comprise dans le forfait vacances.

En effet ,pour les organisateurs, il était inconcevable de visiter l'Espagne sans assister à son "sport national": la corrida.

La photo : L'entrée triomphale dans l'arène des toréadors.

La tuerie commence.

Après la parade en habits de lumière des Toréador. Un premier taureau est entré dans l'enfer d'ou il ne sortira pas vivant.

Quelques passes sont malgré tout effectuées tour à tour par les seconds du Toréador afin de laisser croire au public que la bête a toutes ses chances.

Pour le confort et la sécurité du toréador, il faut fatiguer au maximum le taureau, le diminuer même .

C'est à ce moment qu'entrent en scène les picadors. montés sur leurs chevaux aux flancs protégés afin d'éviter les coups de corne du taureau qui se défend avec ses armes.

Leur travail terminé, la bête ne sera déja plus que l'ombre d'elle même.

Le taureau déja bien saigné, le magnifique, l'adulé toréador vient continuer à diminuer le brave taureau avant la mise à Mort.

Quelques passes avec la muléta histoire de faire durer ce faux suspence .Puis viennent alors le ballet de La pause des Banderilles.

Encore plus meurtri, le taureau n'étant plus que l'ombre de lui-même , tente encore mais en vain de se défendre. Mais c'est sans issue !

Sans force ,désormais acculé, le pauvre mais brave taureau va recevoir le coup fatal. L'estocade finale.

Une épée qui lui sera plantée entre les deux omoplates qui lui donnera la mort. Enfoncée jusqu'à la garde, elle fera s'agenouiller la bête avant qu'elle rende le dernier soupir.

Le premier taureau mort.

Trainé dans l'arène il est exibé une dernière fois sous les cris de joie des aficionados avides de sang.

Dans l'après midi 8 autres taureaux subirons le Même sort. Des années plus tard avec le recul . Je ne suis pas très fier d'avoir assisté à un tel spectacle

De Cauterêts au Pont d’Espagne .

Au départ de Cauterêts, c’est (si vous l’avez souhaité) par une marche sur le bitume que ce périple démarre de l’esplanade des œufs à 1000 mètres d’altitude.

C’est désormais parti pour une dizaine de kilomètres, via la Raillère (commune de Cauterêts) et le chemin appelé celui des Cascades .

Qui aux dires des montagnards, est somptueux !