Le marché terminé, nous avons pris l’habitude de nous poser à la terrasse d’un café d’une des  places du marché.

Moment agréable que partage beaucoup de gens tout en observant avec intérêt les pigeons qui , le plus tranquillement du monde.

Viennent s ’abreuver à la fontaine moussue.

L’olivier de la liberté.

Traversant une petite place servant de trait d’union entre deux rues Commerçantes du vieux Fréjus.

On découvre l’olivier de la Liberté.

Cet arbre date du Xle siècle .

Il a été transplanté à Fréjus à l’occasion du bicentenaire de la Révolution Française.

L’église de Fréjus.

Elle connue sous le nom de l’Eglise saint François de Paule.

Restaurée, elle fut présentée au Fréjusiens par le maire de l’époque au demeurant ministre d état et de la défense Monsieur François Léotard, le  1 ^er  Mai 1993.

Son intérieur.

Plus austère, car comprenant beaucoup moins d’œuvres religieuses, elle n’en n’est pas moins intéressante , son architecture rappelant celle de sa grande sœur et voisine  Sainte Léonce.

Le mémorial de guerre.

Assez imposant, cet endroit de mémoire identique dans l’esprit à ceux des villes et villages de France et de Navarre.

Rappelle aux passants que des courageux , enfants de la France sont morts pour notre liberté.

Les arènes.

Symbole de la puissance romaine de l’époque, des arènes ou se Déroulaient ce que l’on appelait les jeux du cirque.

Souvent c’était afin de divertir la bourgeoisie , mais aussi la Probe ( le Petit Peuple ).

Gégé dans les arènes.

En compagnie de mon petit chien, je me trouve au centre de l’arène de Fréjus.

A ce moment précis, moi le touriste, je ne peux m’empêcher de penser à celles et ceux qui y ont été sacrifiés : Chrétiens et gladiateurs .

Eux qui pour le plaisir sanguinaire de leurs Maîtres et des petites gens,  perdaient la vie dans cette enceinte.  

Le ventre des arènes.

En dessous des gradins, des couloirs voûtés ou circulaient les spectateurs avides bien souvent de sang.

Ils pouvaient également en y déambulant , observer les préparations du spectacle, l’attente des animaux affamés afin d’être plus cruels ,des gladiateurs dont l’objectif était de tuer pour ne pas être tués .

Enfin des condamnés qui n’avaient pas d’autre choix que de mourir pour leur foi.

Les arènes jour de corrida.

Tuer pour le plaisir, non c’est pour l’art enfin c’est ce que vous diront les passionnés de ce spectacle malsain.

Celui qui consiste à faire combattre avec tout son courage et son ignorance de la finalité une brave bête qui de toute façon ,n’a aucune chance de survie .

Hélas le béton.

Bien sur ,les agressions du temps, ont érodé les murs d'enceinte des arènes de Fréjus.

Il fallait bien agir et restaurer.

Pourtant les Fréjusiens et touristes, sont un peu choqués du choix des matériaux utilisés pour cette restauration : Le béton.