Les Façades à colombage.

Les maisons sont construites avec l’étage en encorbellement.

Les murs sont en torchis, mélange de mortier et de paille, parfois avec de petites briques ( bricous ).

L’armature en bois est apparente : colombages.

La ville, qui resta pendant trois siècles sous la domination anglaise, était à l’étroit et les remparts eurent souvent à la protéger.

La Photo : Maison à colombage.

Les vielles enseignes.

Dans certaines rues de Bergerac, les boutiques ont tenu à éviter

Les enseignes trop modernes et se sont attachées à montrer leur identité par des témoignages d’antan comme ici cette Boulangerie.

Son sac de farine suspendu à la corde de la poulie.

La Photo : Une façade de Boulange.

La rue Saint James.

La rue Saint-James conserve une série de maisons témoignant de l’évolution de l’architecture bourgeoise de la Renaissance à la fin de l’Ancien Régime.

Un immeuble cossu du XVIII^e un grande demeure Louis XIII avec boutiques en rez-de-chaussée et façade appareillée en Bossage, maison XVI^e s.

Le tout avec des fenêtres à meneaux et encadrements ouvragés, et une façade de pans de bois XVII-XVIII^e s ou encore une maison aux curieuses sculptures

La Photo : Le Gothique.

La fontaine.

Très belle fontaine d’angle en face du très bel hôtel particulier du        XIV ^eme  .

La Maison du vin est un passage obligé de votre venue en Bergeracois. Elle se trouve dans le centre historique de Bergerac, au sein du magnifique Cloître des Récollets.

Vous y découvrirez les 13 appellations du bergeracois et l’exposition      « Le vin est Voyage » qui transporte les visiteurs à l’aide d’images réelles et virtuelles au travers de l’histoire du Vignoble, grâce à la projection d’un film d’animation dans le Caveau de la vinée, d’une salle sensorielle où les visiteurs peuvent découvrir les arômes des vins de la région, et découvrir la Vinothèque où une dégustation est proposée par l’équipe de la Maison des Vins.

La Photo : La Maison du vin.

Le Cloître des Récollets.

Les moines ont été installés dans ce couvent, construit en 1630, dans l’intention de ranimer la foi catholique à Bergerac.

Après leur départ, après la Révolution, les Protestants, jusque là privés de lieu de culte, ont transformé la chapelle en temple.

Le cloître présente des galeries des 16ème et 18^ème siècles et un Four à pain autour d’une cour ornée d’un magnifique Paulownia.

Il est aujourd’hui le coeur de la Maison des Vins de Bergerac : lieu d’animation, d’exposition et de dégustation.

La Photo : Le Cloître.

Le Marché couvert.
 

Toujours en promenade dans cette belle ville de Bergerac, nos Hôtes nous amènent au marché couvert.

Endroit convivial où les habitués sont heureux de se retrouver histoire de parler un peu et de prendre des nouvelles des uns des autres.

La photo : Près du Marché couvert James, Réjane et Evelyne.

L’intérieur du Marché Couvert.

C’est une construction en fer datant du 19^ème siècle, du style Pavillon Baltard.

Le marché a été construit à l’emplacement d’un temple.

Au 16^ème siècle, Bergerac s’est trouvée au cœur des guerres de Religion et c’est ici que se sont tenues les conférences qui ont abouti à la " Paix de Bergerac ", prélude à " l’Edit de Nantes ". Signé par Henri IV.

Il autorisait les protestants à Célébrer librement leur culte et en 1643, ils construisirent leur Temple.

C’est louis XIV qui ordonnera, plus tard, sa destruction.

L’emplacement resta vacant jusqu’en 1885, année où fut élevée la halle métallique autour de laquelle s’organise la place actuelle.

Cet espace se trouva accidentellement agrandi, en 1934, après qu’un violent incendie eût ravagé tout un îlot d’habitations entre lui et la Grand-Rue.

Le souvenir du passage du roi  Charles IX, accompagné de sa mère Catherine de Médicis, reste attaché à la petite maison de style Renaissance subsistant à l’angle nord ouest de la place, le sieur Daix, médecin.

L’ayant mise à cette occasion à la disposition du roi le 8 août 1565.

Henri de Navarre y logea à son tour le 8 mai 1577 lors des Conférences de Paix de Bergerac.

Les fouilles préventives qui accompagnèrent la rénovation du Marché Couvert en 1991, permirent de révéler les vestiges de l’occupation gallo-romaine.

La ,photo : Les Halles.

L’Eglise et la place de la Madeleine.

Le site de la vieille fontaine de la Fonsivade est le lieu privilégié pour évoquer les origines du quartier de la Madeleine.

L’activité générée par l’ouvrage entraîna à la formation d’un noyau d’habitats, puis l’établissement d’une chapelle, dédiée à Sainte Madeleine, qui ne tarda pas à donner naissance à une nouvelle paroisse.

Le faubourg de la Madeleine trouva aussi les bases de son Développement dans la vie de la zone portuaire qui s’établit, dès le Moyen-Age, sur les atterrissements de graviers .

Ce quartier actif et populaire, rattaché officiellement à Bergerac qu’en 1530, se forgea une identité forte .

La réédification du pont, en 1825, dans l’axe de la route Royale, modifia l’urbanisation du quartier et entraîna, notamment, la création de la place de la Madeleine.

Photo : L’Eglise de la Madeleine.

L’art moderne.

La fontaine " aux saumons " rappelle la richesse halieutique des eaux de la Dordogne et l’attachement des populations riveraines à leur noble rivière.

Je ne vous dirais pas que cet art moderne me convient.

Mais enfin, il en faut pour tous les gouts.

Photo : La fontaine moderne.