Le départ des Issambres.

L'embarquement terminé, notre bateau s'éloigne du quai du petit port de San Peïre.

L'occasion pour nous de l'observer de façon différente.

Bien installés.

La traversée commence, Dulcinée toujours aussi rassurée, se rapproche de moi.

Visiblement ses craintes ne sont pas estonpées.

Je lui dit alors quelques mots rassurants.

Croisant déja d'autres embarcations, notre bateau filant à allure régulière jusqu'à sa destination, laissant derrière lui un sillage d'écume blanc sur le bleu de la méditerranée.

Saint Tropez s'approche.

Après plus de 20 minutes de navigation, on découvre au loin Saint Tropez dans son ensmble.

Son clocher étant tellement reconnaissable que l'erreur n'est pas permise.

Les villas des stars.

Saint Tropez c’est également: Les villas de ses Stars.

Ayant pris la mer à bord d’une autre navette prévue pour faire visiter à Distance respectable afin ne pas déranger ces dames et messieurs Importants : Les Stars !

J’ai pu observer les luxueuses villas de celles et ceux que les médias nous présentent comme de Dieux vivants.

Force est de constater, que je me suis trompé de métier.

Même pendant plusieurs vies de travail, mes rémunérations ne pourront au grand jamais me permettre d’arriver au niveau de ces gens là.

En richesse matérielle bien sur.

Car en moralité: c’est autre chose ,beaucoup d’entre nous n’ont pas de leçon à prendre de cette catégorie d’individus qui on sûrement un peu de talent, mais qui aussi pour arriver tueraient Père et Mère.

Sur la photo : Cachée dans les arbres à gauche la Madrague propriété de B .B.

Saint-Tropez (La Snob)

Elle accueille chaque année une clientèle de célébrités du cinéma ou du show-Business, mais aussi une foule de touristes attirés par la notoriété de la Ville.

Le musée de l'Annonciade de Saint-Tropez abrite une belle collection d'œuvres de Bonnard, Rouault ou Derain.

La Citadelle, construite entre le XVI^e et le XVIII^e siècle,  est devenue le musée de la Marine, annexe de celui de Paris.

À l'origine, comptoir commercial grec, la ville adopta le nom d'un Soldat romain devenu martyr chrétien au I^er siècle après J.-C.

Celui-ci, appelé en réalité Torpes ou Torpetius ( selon des documents différents ) fut décapité sur ordre de l'empereur Néron pour s'être converti au christianisme.

Mis dans une barque avec et un chien qui devaient le dévorer, son corps fut livré aux Flots.

La barque aurait finalement abordé à l'emplacement actuel de la ville sans que les deux animaux n'aient touché au corps du supplicié.

Malgré cette légende, le véritable développement de la ville date des XV^e et XVII^e siècles, lorsque le grand sénéchal de Provence accepta, en 1470, l'installation de soixante familles génoises dans la cité abandonnée à la suite des grandes épidémies qui en avaient décimé la population.

Les nouveaux installés en 1637, s'illustrèrent dans la défense de la Côte menacée par vingt-deux galères espagnoles, qui durent prendre la fuite après avoir tenté de faire la conquête du port et d'enlever quatre navires du roi de France.

Jusqu'au

XIXe　siècle, Saint-Tropez resta une petite ville de pêche. C'est Maupassant qui en découvrit le charme et contribua ainsi à L'ouvrir au tourisme.

L'arrivée à Saint-Tropez.

Le bateau se range à quai dans le port annexe de plaisance .

La traversée s'est déroulée parfaitement, ma moitié est saine et sauve.

Pour faire semblant  .

Après avoir arpenter de long en large, par curiosité les quais du port de Saint Tropez, nous nous sommes arrêtes quelques instants pour disséquer un de ces luxueux bateaux.

Il faut dire que c’est la grande classe :Salon de cuir à l’arrière avec bar. Équipage aux ordres satisfaisant aux moindres désirs de leurs employeurs fussent-ils très jeunes.

Enfin, nous ne jouons pas , nous les sans grade dans la même cour.

La photo : Evelyne  devant le bateau de nôtre jardinier. 

Le quai principal .

Pour les Stars et les riches propriétaires de bateaux de luxe, c'est à cet endroit ,devant les hôtels de luxe et les bars branchés.

Qu'il faut impérativement accoster.

Saint Tropez, ne serait pas Saint trop sans son très riche : Port de plaisance ou sont accostés, des yachts d’un prix qui dépasse l’imagination.

Ce n’est pas de la jalousie ou même de l’envie car il faut savoir rester à sa place.

Mais enfin force est de constater que les richesses sont quand même mal réparties, surtout quand on observe ce qui se passe dans la vie économique ,avec ses lots de fermetures d’usines, pertes d’emplois de pouvoir d’achat etc.

A la vue de ces très luxueux formules 1 des mers, on se rend bien compte que les profits reviennent toujours aux mêmes.