Accès au lac de Gaube.

Son altitude étant de 1725 mètres, il est donc accessible à partir du Pont d’Espagne .

A pied par un sentier caillouteux le Gr 10 en direction du Refuge des Oulettes de Gaube et dont la pente parfois raide Vous oblige à faire de temps à autre, une pause.

Tout en découvrant les vallées vertes du Cyan et du Mercadau, sous le regard des Isards et Marmottes.

Finalement, ces deux cheminements, donnant accès à ce site exceptionnel Sont le prix à payer pour découvrir un fabuleux paysage qui Nous rappelle et nous rapproche du commencement la vie sur Nôtre terre.

La Photo : Dulcinée presque arrivée au but.

Très fière.

Sa témérité a triomphée. Il m’est permis de la féliciter, car pour avoir été à ses côtés lors de la montée en télésiège, et vécu son anxiété.

Je comprends sa fébrilité. Mais aussi salue sa détermination pour ne pas renoncer.

Le moment est dès lors venu pour la détente et pour se remettre de ses Emotions.

La photo : Evelyne devant ce fameux lac.

Le Vignemale.

A tout seigneur, tout honneur, le massif du Vignemale peut aussi s’admirer du lac de Gaube.

Formant un bloc impressionnant avec ses pics et pitons qui l’entourent, vêtu de ses glaces et neiges éternelles.

Il impose sa Majesté à tout son environnement, mais aussi et surtout, il oblige l’humilité aux nombreux touristes amoureux de la montagne ou Pas qui viennent le contempler.

Photo: Gégé en extase devant cette beauté.

Excitation.

Un bon moment de bonheur de pouvoir admirer cet endroit .

De respirer son air pur, de goûter à sa douceur toute relative car extrêmement capricieuse et changeante.

Avec toujours cet espoir d’apercevoir un Isard, un Aigle ou encore une Marmotte.

La photo : Dulcinée debout sur le rocher scrutant les lieux.

Avec les Amis.

Fortifiés par ma narration enthousiaste de mes aventures en Montagne. Je suis parvenu à décider mon collègue de travail et son épouse à venir découvrir ses beautés .

La montée en télésiège jusqu’au lac fut feutrée, car ils appréhendaient un peu le vide.

La descente s’averra encore plus délicate, mais enfin pendant un long moment , ils apprécièrent ce lieu magique.

La photo : Gégé ( l’ange )au milieu des deux diablesse Dulcinée à gauche , Bernadette à droite.

Enfin Pascal derrière l’appareil photo.

L’observation.

La montagne réservant tant de surprises et de découvertes.

Qu’il est très intéressant de la scruter aux moyen de jumelles.

C’est de cette façon qu’avec un peu de chance on peut y voir des Isards , Aigles et Rapaces ou encore des Marmottes.

De toute manière observer au plus près ce milieu riche par sa Faune et sa Flore , est déjà en soit une grande chance.

La photo: Gégé est ses jumelles.

Le nom Pyrénées. La légende.

Depuis que je vous loue dans mon blog, les superbes Pyrénées. Comment est venu ce nom Pyrénées ?

En ce temps là, Bébryx, le roi des Bekrydes, avait installé son Palais dans la grotte de Lombrives. Il avait une fille Pyrène.

Un jour arrive un Balastruc Hercule. Pyrène en Tomba amoureuse.

Hors on rappela Hercule dans son pays pour y terminer ses travaux.

Pyrène mis à la porte par son Père, se réfugia dans la montagne.

Attaquée par un ours, elle appelle Hercule qui accourt pour tuer l’ours et la sauver.

Hélas, il arriva trop tard.

Fou de douleur, Hercule enterre Pyrène dans une Grotte et dit :

Puisque c’est comme cela, ces Montagnes porteront ton nom Pyrène: Pyrénées.

Mon voyage au Pic du Midi de Bigorre.

En passant par le Tourmalet. (Mauvais détour)

Deux possibilités s’offrent à nous pour parvenir à la Mongie, point de départ du téléphérique pour monter au Pic du Midi de Bigorre.

La première par le versant Mongie.

La montée débute à Saint Marie de Campan avec une partie plus difficile entre l’Adour et Artigues.

La seconde par la montée dès Luz Saint Sauveur et Barèges qui nous fait passer le sommet du Tourmalet à 2115 Mètres avant de redescendre sur la Mongie.

Le domaine du Tourmalet.

Le Col du Tourmalet 2115 mètres le Géant des Pyrénées, est assurément un des cols les plus prestigieux de France.

La notoriété que lui confère le Tour de France, ainsi que les épreuves de masse le Challenge des Pyrénées "les 4 As" ( La Hubert Arbes, l'Ours, la Lapébie, le défi Pyrénéen), la Grande boucle internationale Féminine.

En fait un objectif majeur, un but recherché, une valeur sûre au Hit parade des chasseurs de cols.

Il représente une difficulté exceptionnelle et occupe une position clef au cœur des Pyrénées.

La route qui le franchit s'élève à 2115 m d'altitude, entre le Pic du Midi de Bigorre et le Massif du Néouvielle et relie les Stations de La Mongie d'un côté et Barèges de l'autre

Bien avant que les cyclistes se lancent à l'assaut des cimes Pyrénéennes, le Tourmalet ( littéralement "mauvais détour "), faisait déjà parler de lui.

En 1675, Mme de Maintenon, franchit le col pour la première fois en chaise à porteurs.

La route de la vallée des Gaves étant coupée par la crue, il ne restait plus que cette solution pour aller " Prendre les eaux " à Barèges afin de soigner le Duc de Maine.

Puis Raymond De Carbonière, célèbre botaniste, fut un fidèle visiteur en 1874, lorsqu'il se rendait au Pic du Midi, site déjà très convoité par la science.

Début de montée vers le Tourmalet.

Nous avons quitté les derniers bastions urbains tel que Barèges et dès maintenant, nous nous trouvons sur les premières pentes du col, qui n’est pas à négliger car en tout.

Ce seront 18,5 Kilomètres d’ascension jusqu’au sommet.

La montée de Luz à Barèges n'était pas à négliger sur les 18,5 Km d'ascension, car la pente moyenne est de 7,7 %.

Par contre, la pente moyenne de Barèges au col est de 8,2 %, avec les 500 derniers mètres à 15 %.

Probablement que certains virages serrés, nous feront dresser le poil. Mais quand on aime, on va jusqu’au bout de son idée et de ses envies.