Des surprises.

Dès notre retour sur le plancher des vaches, plusieurs surprises nous attendaient.

En premier, des voitures anciennes avec leurs pilotes, paradaient sur la place de La Mongie, faisant la joie des touristes.

La belle et l'auto.

Une accompagnatrice habillée de l'époque où ces bolides anciens arpentaient les routes.

Une sportive.

Elle n'a pas gagné les 24 heures du Mans, mais enfin ce bolide a de l'allure.

Une petite dernière.

Pour terminer une superbe voiture ancienne.

Serge et ses amis.

La seconde surprise.

Habitués au public , c'est tout naturellement que ces ânes viennent au contact des touristes.

La photo : Notre ami Serge, en bonne compagnie.    FIN.

Saint Savin.

De son ancien nom Bencer.

Joli petit village français, situé dans le département des Hautes Pyrénées .

Il est situé à 525 mètres d'altitude et s'étend sur 3,9 km² .

Il compte dans ses murs 388 habitants qui sont appelés les Saint-Savinois et les Saint-Savinoises.

Il fait parti du Parc national des Pyrénées.

Ce village doit son patronyme à un ermite Espagnol.

Jacques Chancel, de son vrai nom Joseph Crampes,

Journaliste et écrivain français né le 2 juillet 1928 à Ayzac-Ost ( Hautes-Pyrénées ). Est un de ses plus illustres Concitoyens.

L’abbatiale de Saint Savin.

Cette église de Saint-Savin-en-Lavedan, devenue Paroissiale, faisait partie jusqu'à la Révolution Française d'un monastère bénédictin très influent à l'époque romane.

Elle date du XII ^ème siècle et fut surélevée au XIV _ème siècle.

Aujourd’hui rien ne subsiste de l'abbaye si ce n'est l'abbatiale et la salle capitulaire ce qui est certain, c'est que Saint Savin ( ermite ) fut l'un des premiers chrétiens à avoir évangélisé la vallée du Lavedan, après un passage au Monastère de Ligugé.

L'ermite vivait à quelques pas de là et les moines obtinrent de faire rapatrier son corps au monastère.

La réputation de L'ermite et ses miracles firent affluer fidèles, pèlerins et dotations.

Placée sous la protection des comtes de Bigorre, l'abbaye s'épanouit et étend son influence.

Au XIII ^ème siècle, elle contrôle le territoire de sept communes.

A l’intérieur, on peut y voir le tombeau de Saint Savin, un Christ en croix du xlv ^eme et l’orgue Renaissance de 1557.

L’ermite Saint Savin.

Saint-Savin a vécu quelques siècles plus tôt. Selon les auteurs, entre le

V ^ème et le IX ^ème siècle
D'origine espagnole, il quitte tout pour suivre le Christ annoncer l'Evangile.

Il s'établit en ermite dans la montagne au-dessus du village au lieu-dit "Pouy-Aspé".

Il va y mener une vie de prière, de contemplation et d'austérités pendant treize ans, d'après la tradition.
A sa mort, son corps sera redescendu au village de Bencer  ancien nom de Saint-Savin- pour y être vénéré.

Aujourd'hui le tombeau de saint Savin, d'origine romane, est l'autel principal de cette église.

De chaque côté de ce Sarcophage, deux grands tableaux peints sur bois et datés du XV ^ème siècle, illustrent d'une manière très vivante la vie du Saint.

Ils évoquent ses miracles et témoignent de la ferveur de tout un peuple pour celui qui deviendra le saint patron de cette Vallée.

De magnifiques autels.

Installés dans des petites nefs sur le coté de la centrale, des autels magnifiques permettent de prier plus intimement.

L'autel central.

Très riche en dorures, il est le centre de l'abbatiale