Une découverte.

Ma Mère étant hélas décédée, en vidant sa maison mise en vente, j'ai retrouvé des documents et revues consernant le Général De Gaulle que mon Père, lui aussi inconditionnel du Général, avait gardés précieusement.

Qu'en faire ?

Bien que moi aussi je fasse parti des fidèles à De Gaulle, et déja possesseur des livres de mon Père, finalement je me demandais , ce que je pouvais en faire ?

C'est alors que me revînt en mémoire, le reportage consacré à Mr le Maire de Marchiennes.

La photo : un mur du bureau de Mr le Maire.

Une première rencontre.

Après avoir pris rendez-vous avec la Mairie de Marchiennes, mon épouse et moi, avons été reçus par Mr le Maire.

Que ne fut pas notre étonnement dès notre premier contact avec cet homme si sympathique , si enthousiaste que sa passion pour De Gaulle s'est transformée en véritable sacerdoce.

La photo : Une seconde partie du bureau.

Une amitié naissante.

Lors de notre discussion, une certaine connivence s'est installée entre nous.

Nous avons évoqué nos souvenirs gaullistes et échangé des opinions, puis vînt le moment où le lui ai fait cadeau de mes revues et documents.

Très content et presque ému, il nous remercia en nous offrant à son tour, un petit cadeau et nous donna rendez-vous pour une autre rencontre afin que je puisse récupérer un dossier personnel que je lui ai confié.

La photo : Une vitrine pleine de sujets gaullistes.

La seconde rencontre.

Avec mon épouse, nous avions réfléchi à ce que deviendrait après, nous les livres des mémoires du Général De Gaulle .

Sachant que notre descendance ne s'en préoccuperait pas, nous décidâmes de les offrir à Mr le Maire de Marchiennes.

Nous en sommes d'autan plus heureux et rassurés , qu'il nous a assuré qu'après lui, tout le contenu de son bureau Musée, serait donné à la Fondation De Gaulle de Paris.

La photo : Gégé, Mr le Maire et le Général.

FIN.

Notre nouvelle voiture.

Nous n'avions pas prévu de changer de voiture cette année, car nous attendions notre déménagement futur.

Mais suite à un accident dont je ne suis pas responsable et sans gravité physique, nous avons décidé de céder notre ancienne Picasso âgée de 5 ans et d'acheter la Picasso C3 qui nous convient bien.

La grande guerre.

Beaucoup avaient 20 ans.

1914-1918 ou quatre annés de boucherie pendant lesquelles des millions d'hommes sont morts dans des souffrances et des conditions qui dépassent l'imagination.

A l'Armistice, ils avaient dit que cette guerre serait la dernière.

21 ans après, une autre débutait.

Sur cette crête, s'élevait une chapelle de pélerinage de Notre Dame de Lorette érigée en 1727.

La prière du lieu :

" Notre Dame de Lorette protégez nos foyers et nos Patries ".

Notre Dame de Lorette.

Située sur le territoire d'Ablain-Saint-Nazaire, la colline éponyme à 165 m d'altitude, elle a été inaugurée en 1925 et bâtie sur le lieu même ou se sont déroulé ces combats sanglants inhumains et mortels.

Notre Dame de Lorette est entourée des tombes de tous ces braves tombés au champs d'honneur.

Elle a été classée site historique en 1928

Une tombe du Soldat inconnu y a également été inaugurée en1977.

Des croix à perte de vue.

D'octobre 1914 à octobre 1915, la colline de Lorette, située est l'objet d'affrontements entre l'armée française et l'armée allemande.

En une année,188 000 soldats, dont 100 000 français, sont morts pour prendre  ce qui était appelé « l'éperon de Notre-Dame-de-Lorette » .

De tous côtés au milieu des champs ou bosses et trous témoignent encore de l'intensité et de la fréquence des frappes d'obus, des croix blanches portant les noms des tués se dressent en témoignage de ce qui s'est passé en ce lieu et autour.

Vue d'ensemble des tombes.

Le site de la colline de Notre-Dame-de-Lorette est choisi pour rassembler les dépouilles de soldats provenant de plus de 150 cimetières de l'Artois et des Flandres françaises.

C'est le plus grand cimetière militaire français 40 058 corps y reposent dans des tombes individuelles et dans huit ossuaires.

Il y existe des tombes individuelles surmontées finalement par une croix en ciment à partir de 1933, les croix de bois retirées et repeintes en noir, ont été utilisées dans les cimetières allemands que la France entretenait à ce moment là.