Le vélo de Mimi.

Toute petite, comme tous les membres de la famille , ma sœur possédait aussi son vélo.

Trop grand pour elle, mon Père lui avait installé des cales en bois sur chaque pédale de façon à ce que ses pieds les atteignent.

Maintenant qu’elle nous a quitté, cette photo représente en vérité un bien beau souvenir.

Prête pour le Tour.

Après quelques hésitations et essais infructueux, Mimi s’est lancée .

Bien sur aidée par des petites roulettes de stabilité, la voila très fière de  pédaler et de savoir comme on dit :

Faire du vélo.

Esprit de famille.

Ma Mère et ma sœur très attentives au petit Gégé.

Surtout Mimi qui est toute contente ( sous l’œil de maman ) de tenir son Petit frère dans ses bras et sur ses genoux.

Avec Nicole.

Tout petit ma sœur et moi dans les bras de Nicole.

Fille du Directeur et Directrice d'école d’Haulchin que ma Mère a élevée un peu lorsqu’elle était en service chez ses Parents.

Idem.

Même cause mêmes effets.

Cette fois c’est avec papa que Mimi Câline Gégé le petit frère.

La petite famille.

Papa, maman , Mimi et Gégé réunis .

Je pense que cette photo a été prise au jardin de la Rhônelle à Valenciennes.

Devant le poulailler.

Dans la cour devant le poulailler , le gros bébé Gégé toujours aux pas incertains, tente de rester debout surveillé qu’il est par sa grande sœur qui joue à la dinette.

La douceur d’une sœur.

Toujours peu en équilibre, Gégé est très entouré par l’amour de sa sœur qui inquiète le surveille pour sa sécurité.

Fierté de Louise et Jean Baptiste.

Le Roi n’était pas leur cousin au papy et à la mamy qui devant chez eux se faisaient prendre en photo avec leurs deux petits enfants.

Ils adoraient tous les deux nous avoir pendant que nos Parents s’activaient à leurs occupations journalières.

Vacances d'antan .

Nos Parents faisant construire une maison, n’avaient pas pour le moment , les moyens financiers pour partir en vacances.

Il n’empêche que pendant les congés payés de mon Père, nous ne restions pas cloîtrés dans nos murs, et à la moindre occasion, il nous emmenait nous oxygéner.

C’est curieux, comme malgré le temps passé, la redécouverte d’une photo ancienne, ravive la mémoire.

Ici avec ma sœur Mimi, au jardin de la Rhonelle de Valenciennes, par un bel après midi d’été, je me souviens d’une anecdote.

Tandis que nous grimpions sur ces rochers reconstitués autour du petit lac.

Nos Parents , tout en restant attentifs, s’étaient cachés très furtivement.

Nous étions tellement pris de peur d’être perdus, ce qui justifie ma moue, que très vite nôtre Mère se manifestât et se jurat de ne plus réitérer cette expérience.