Le prix d’une victoire à Paris-Roubaix
Ce jour là, en disséquant le regard de Johan Museeuw, lors de son arrivée Victorieuse au Vélodrome de Roubaix, on imagine aisément ce que, celui qui fût surnommé par ses Pères: le Lion des Flandres, a pu endurer pendant la Reine des Classiques.
Outre des conditions atmosphériques détestables et pourtant conformes à cet événement, ce sont les pièges de la route qu’il fallut anticiper et gérer avec aussi un peu de chance pour se jouer d’un pavé sournois et intraitable.
Au franchissement de la ligne, son faciès marqué, fatigué et noirci, N’étant pas sans rappeler celui de ceux dont il vient de traverser le terroir: les Gueules Noires .
On ne peut qu’être admiratif devant ces (hors normes ) cette race de Seigneurs au noble sens du terme, qui on encore les tripes pour aller Jusqu’au bout d’eux-mêmes pour conquérir le Gräal
Miel de la Victoire après le Fiel de la course.
(Il n’y a pas de Miel sans Fiel)