Wallers Arenberg la terrible .

C’est peut-être pour toutes ces raisons que médiatisée depuis des années, Ce passage d’Arenberg si particulier, rassemble à chaque fois des Dizaines de milliers de spectateurs ( curieux, passionnés et touristes ).

C’est ainsi que se côtoient en toute amitié Belges, Allemands, Italiens ,Américains, Néerlandais , Français et j’en passe.

Ici sur la photo Andreï Tchmil qui a du mal à se frayer un passage dans la foule et utiliser toute son adresse pour ne pas chuter et ainsi ne pas hypothéquer ses chances de victoire.

La ferveur Flamande.

Dans Arenberg, la ferveur des Flamands qui pendant des heures , qu’il pleuve , qu’il neige ou qu’il vent continuent à chanter, crier et la Bière aidant à être heureux en attendant le passage de leurs favoris.

Un vrai spectacle en lui-même.

Être Flandrien c’est plus un état d’esprit qu’une situation géographique.

Puis il y a les jours de course.

Le peloton qui franchit un à un ce pavé .

Par ces conditions atmosphériques détestables, on imagine aisément que ceux qui son ici en queue de la course , n’en reverrons jamais la tête. Malgré les encouragements d’un public fidèle.

Toujours dans Arenberg le jour de la course.

Ici le passage Juan Antonio Flécha, Hincape, Boonen dur - Dur ,ils ne sont pas en tête .

Cette fois leurs efforts seront vains .

Coup de semonce dans Wallers Arenberg.

Ce jour la Musseeuw, Hincapie, Michelsen et Wesemann, sonnent la charge dans Arenberg.

Derrière c’est au courage et à la volonté qu’il faudra tenir pour rentrer à Roubaix.

Retour en arrière.

Le Belge Eric Léman, un extraordinaire combattant aussi sur le vélo, ce jour là subit aussi la loi des plus forts et des éléments.

Seul son courage et son orgueil lui permettront de rallié Roubaix.

Le Lion des Flandres.

A la tête du peloton Johan Musseeuw secoue le peloton comme

Un prunier de façon à en extraire le meilleur et pour pouvoir s’expliquer plus tard à la régulière et à la pédale avec les plus Coriaces d’entre eux.

Car en Belgique vous pouvez être un très bon coureur, mais vous ne serez jamais reconnu comme un Grand si vous n’avez pas triomphé à Paris-Roubaix.

Un dimanche de course.

Un soleil généreux accompagne les Coureurs.

C’est la tête de course ,le premier mais cela va trop vite , nous n’avons pas d’informations.

Il n’y a plus qu’une solution, regarder le numéro de dossard dans le journal mais après car les autres arrivent.

Et puis après c’est trop tard !

Un par un

Un des acteurs malheureux Philippo Pozzato après sa chute ne retrouvera jamais la tête de course.

La charge payante.

Stuart ’Grady en bagarre dans Arenberg. Son travail ne sera Pas inutile .

Il triomphera à Roubaix.