Vue d’ensemble.

A l’entrée de cette pièce d’eau voilà ce que l’on découvre.

A gauche la douche, au fond le lavabo et ses meubles , enfin tous les accessoires utiles.  FIN.

Bon résultat.

Souvenez vous ! Dans un article précédent: préparer l’avenir, je Vous avais présenter ma petite serre garnie de plantations et semis.

En particulier des bulbes de jacinthe .

Elles sont toutes venues à Maturation et en fleurissement.

Certes en ordre dispersé et sur Plusieurs semaines.

Ce n’est pas plus mal car pendant au moins deux mois nous avons été fleuris et embaumés.

Reprise du boulot.

La météo devenant un peu ( vraiment un peu ) plus clémente chez nous dans le Nord, je me suis remis un peu chaque jour à la réalisation de mon jardin. 

Pas aisé car c’est de la boue ( comme On dit chez les Ch’tis de la berdoule ) .

Par moment il faut même avoir le moral. mais quand on aime, on ne compte pas.

Après pas mal d’efforts, voila le premier acte de mon projet qui est terminé: La surface cultivable.

Profitant d’un répit de l’hiver, j’ai déjà pu planté dans cette terre Fraîchement bêchée :

1 route de 3 mètres de Petits pois nains.

52 échalotes ( Cuisses de poulet ).

87 Oignons de Mulhouse .

Et 41 Ails d’été .

Il est vrai qu’avec ce petit terrain, je m’arrange au maximum pour ne pas marcher dessus en plantant ( enfin quand cela est possible ).

La serre.

Elle est terminée et fonctionnelle .

( Longueur1,7 m, largeur 0,9 m et 1,4 m de hauteur à son faîte )

Sa surface cultivable est déjà ensemencée par de la laitue Gotte, des Radis, du Persil double frisé , du Céleri d’Elne et de laitue Grosse blonde paresseuse.

Ses deux étagères vont bientôt accueillir mes semis en pots d’œillets D’Inde, de Roses d’Inde et de Dahlias voir de Tomates.

C’est bientôt l’heure de vérité.

On verra si ce pourquoi j’ai travaillé fonctionne bien et si cet abri froid protège bien les premiers semis.

En bas de la serre on devine à droite en bleu, le fût de récupération D’eau de pluie.

Les châssis froids.

Mes deux châssis sont aussi installés et occupés.

Celui jouxtant la serre, contient pour l’heure, des salades d’hiver ainsi qu’une petite route de persil frisé double.

Dans l’autre sont semées trois petites routes de poireaux: des longs de Mézières.

Laissons pour ces semis du temps .

Espérons que les celsius daignent monter afin que toutes ces graines lèvent et se développent dans les meilleurs conditions.

Le Composteur : La cuve d’eau de pluie.

Soucieux de recycler mes déchets verts, j’ai installé un composteur de 350 litres.

Il recueillera tous mes épluchures de légumes du jardin mais aussi ceux provenant de nos achats.

Du faite qu’avec un si petit terrain , je suis limité en quantité de production .

Le composte qui sortira de cet incinérateur naturel, retournera tout Naturellement à la terre.

A coté se trouve ma cuve d’eau de pluie provenant de la récupération de l’eau du toit de mon chalet de jardin.

Sa contenance est de 300 litres mais c’est surtout sa qualité qui prévôt et qui sera bénéfique aux légumes et aux fleurs.

La salade en châssis.

Ce sont les salades d’hiver que j’avais semé dans ma petite serre de Véranda.

Replantées en châssis par la suite ( dès qu’elles eurent 4 feuilles ) , elles ont passé l’hiver en châssis froid.

Il est probable que si les températures grimpent un peu, ces merveilles d’hiver atterriront dans nos assiettes d’ici à 15 jours .

La boîte à semences et plants.

Elle appartenait à ma Mère Georgina .

Devenue pour elle inutile vu ses 86 printemps, elle me l’a donné.

Elle s’en servait jadis comme boîte à couture.

Du reste ce petit " Meuble " était connu à l’époque, par les ménagères sous la dénomination de " Travailleuse ".

En regardant cet objet , beaucoup d’images et de souvenirs me Reviennent .

Petit ,je revois ma Mère cousant pantalons pour mon Père et moi, jupes et robes pour ma sœur et pour elle et beaucoup d’autres vêtements encore.

C’était le temps ou les femmes au foyer même si elle ne rapportaient Aucun salaire jouaient un rôle social prépondérant en étant l’âme de la maison et surtout ,la garantie de la bonne éducation des enfants.

A certains moment, je regrette ce temps révolu où les Maîtresses de maison privilégiaient plutôt leur Famille que leur carrière souvent aléatoire et contraignante.

Alors aujourd’hui, même si je détourne cette travailleuse de sa fonction première, je lui redonne malgré tout vie en l’utilisant comme réserve de graines et plants pour mon jardin.

Tandis que l’hiver continue à contrarier les jardiniers qui après cette Longue période de moindre activité, sont impatients de faire rougir Bêches et autres outils de jardin.

A l’intérieur les semis les plus fragiles et qu’il est possible de repiquer, peuvent être faits .

C’est ainsi que ce 9 Février ,je viens de semer mes pieds de tomates.

Des Marmande et des tomates cerise.

Cette année, je ne suis pas trop en avance, mais avec la chaleur, j’aurai vite rattraper ce petit retard.

Puis devant m‘absenter au Printemps, les fruits arriveront plus tard à terme et ce sera aussi bien.

L’Art de jardiner.

Planter, semer et repiquer: c’est très bien mais tous les légumes ne sont pas compatibles entre eux et certaines proximités, sont ou ne sont pas indiquées.

Voila un tableau que des professionnels de la graineterie propose aux Jardiniers pour les aider à ne pas faire des erreurs d’association et ainsi obtenir une croissance maximum de leurs semis et plantations.