Et la baignoire.

Côté baignoire, relaxation dans une eau très chaude, c’était pas mal non plus pour ma moitié qui adorait s’y plonger dans une eau si chaude, que moi, j’en aurai été ébouillanté.

Elle s’y prélassait longtemps puis un jour , la difficulté d’en sortir avec ses appuis de poignets devenus faibles, m’ont décider à passer à autre chose aussi bien pour elle que pour moi .

Le bois toujours le bois !

Il était à l’honneur ce matériau chaud.

Présent par le plafond en lambris, il était aussi la base du meuble de rangement de nôtre linge de corps.

Désormais , ce mobilier va descendre dans mon petit atelier, où il servira de rangement à mes petites machines électriques.

Nouveau projet.

Voila après 30 ans de bons et loyaux services, l’ancienne salle de bain va céder la place à de nouveaux meubles, lavabo et autre grande douche à hydrojets .

Voici par ce plan ce à quoi nous aspirons .

Une pièce agréable utile , fonctionnelle et relaxante.

Nous l’avons imaginée comme cela.

Le plafond sera toujours en lambris de bois existants.

Les murs serons recouverts de lambris plastiques ambiance couleurs bouleau.

Le sol en parquet flottant spécial salle de bain stratifié chêne clair.

La porte accordéon en frêne blanc ( 205/88 ).

Une cabine douche hydrojets Atrium ( 115/90 ).

Une armoire Neri halo de 80 avec glaces et spot lumineux.

Une armoire Neri casual avec lavabo marbre gris.

Une colonne Neri de35 cm.

Une colonne Neri de 50 cm.

Un luminaire mural 4 spots.

Dans les toilette sera installé un lave main Simoun en résine blanc 40/20.

Sa porte d’accès sera comme celle de la salle de bain.

Les murs du sas d’entrée seront recouverts du même lambris que la salle de bain.

La photo : le matériel stocké : Il y en a partout !

Là aussi, dans la véranda aussi il a fallut entreposer la cabine de douche démontée le lavabo et son dessus de marbre , enfin les lambris sacs de plâtre, de ciment etc etc.

Et encore ne les installant qu’en toute fin de travaux le deux portes accordéons ont été descendues à mon atelier ainsi que les seaux de colle.

Et oui pour l’heure, un vrai bazar !

Tout est consommé.

Elle a vécu.

Un petit pincement au cœur pour Dulcinée ( objets inanimés avez-vous donc une âme ) et déjà le début de la démolition .

L’enlèvement des premiers carreaux de faïence même si cela est fait avec précaution, laisse de graves blessures aux murs.

Un travail de ravalement sera nécessaire pour par la suite espérer poser le nouveau revêtement.

Du Boulot en perspective.

Les travaux continuent.

Maintenant ,à force de démonter, cette endroit ressemble plus à Verdun qu’à une pièce d’eau.

La baignoire est démontée, laissant apparaître la chape de béton d’origine que nous avions tirée mon Père et moi il y a donc au moins 29 ans.

Avec sa redécouverte beaucoup de souvenirs heureux remontent à la surface.

J’ai tant passé de bons moments avec mon Paternel Kléber!

Le replâtrage.

Transformé en plâtrier, j’exécute cette tâche qui consiste à reboucher les trous plus ou moins importants provoqués par l’extraction des faïences murales.

Il me faudra plus de 45 kilos de plâtre pour redonner aux murs concernés, un semblant de dignité .

Les cheveux en bataille, je m’y attache de bon cœur.

Du reste : ais-je un autre choix ?

Le béton est fait.

En dessous de l’ancienne baignoire il n’y avait pas de carrelage.

A l’époque ce n’était pas utile puisque la baignoire était encastrée et entourée de carreaux de faïences .

Il a donc été nécessaire d’égaliser et de rattraper le niveau du sol en coulant du béton.

En priorité pour changer l’emplacement des évacuations d’eau usées pour la nouvelle implantation du lavabo.

Mais aussi pour facilité la pose du futur parquet.

Là aussi ce n’est pas un petit travail !

Les écoulements d’eau.

Comme je l’ai dit tantôt, les emplacements des différents éléments que composent la nouvelle salle de bain ont été déplacés.

Cela veut dire qu’obligatoirement, il est impératif de modifier et de redonné un nouveau tracé aux tuyaux d’évacuation des eaux usées.

Et croyez moi pour ce travail, la coupe et la préparation des canalisations, n’est que de la roupie de sansonnet, la taille de la chape de béton pour les y loger, a été autre chose et m‘a nécessité beaucoup d‘huile de coude !